Comment apprendre un cours ou un texte : les bases

Vous cherchez des méthodes pour apprendre plus efficacement vos cours ? Que ces cours restent en tête plus longtemps ?

C’est possible de trouver une méthode personnalisée, encore faut-il la chercher en expérimentant et en avançant progressivement.

L’article qui suit est une première trame qui se base sur les accompagnements que j’ai réalisés, soit plus de 1000 élèves en formation. La trame fonctionne très bien avec des cours dès la fin de l’école primaire, du collège à post-Bac, même s’il y a des adaptations en fonction de votre niveau.

Notamment si les cours font plus de 20 pages, il faudra les morceler et avoir un travail spécifique sur le plan. Car sur les cours très grands, de plusieurs centaines ou milliers de pages, on peut perdre la vision globale.

Au programme :

  • Ce que dit la science : des neuromythes aux principes scientifiquement prouvés
  • La trame d’une bonne méthode pour apprendre
  • Les 4 métas pour apprendre un cours
  • Exemples concrets d’élèves

🟠 Ce que dit la Science

Avant de vous partager plusieurs « recettes » de méthodes efficaces, il me semble pertinent d’aborder ce qui fonctionne ou pas. En effet, nous avons la chance d’avoir accès à de plus en plus d’études scientifiques qui cherchent à mettre en évidence les méthodes qui fonctionnent et celles qui sont des mythes pour les neuroscientifiques.

1 / Les neuromythes

Commençons par quelques neuromythes, à savoir des principes considérés comme vrais à une époque, mais qui aujourd’hui ne le sont plus pour la communauté scientifique. Il s’agit donc de fausses croyances sur le fonctionnement neuronal.

❌ Il existe différents types de mémoire : visuel, auditif, kinesthésique et cela va m’aider à mieux apprendre
Ces types de mémoire, visuelle, auditive, kinesthésique ne veulent malheureusement rien dire lorsqu’on parle de mémorisation. Tous les humains pour apprendre le plus efficacement possible ont besoin de solliciter un maximum leur 5 sens.
Si le canal d’acquisition d’une connaissance n’a pas d’impact sur la mémorisation, il n’est pas impossible que vous préfériez apprendre en lisant ou en écoutant ou en discutant. Ça ne remet pas en cause une « préférence cognitive ».

❌ Relire ses cours le soir, c’est top !
Relire est une méthode très efficace pour comprendre un cours, le découvrir. Par contre lorsqu’il s’agit de mémoriser et réviser, ça reste la méthode la moins efficace.
Largement documenté par la science, il est toujours préférable de se tester puis de se corriger avec une relecture.
Cela évite le biais de confirmation, en effet lorsqu’on relit son cours, nous avons tendance à regarder uniquement ce que l’on maîtrise déjà et à minimiser les zones d’ombre. Alors que si l’on se teste avant, notre relecture sera plus focalisée sur les erreurs et oublis.

❌ Apprendre la veille pour le lendemain
Même si nous avons tous déjà bachoté, révisé un cours la veille pour l’évaluation du lendemain, cela reste une pratique court termiste.
En effet, lorsqu’on apprend une notion/compétence, le but est rarement la simple mémorisation des connaissances. À terme, on cherche à pouvoir réutiliser ces connaissances sur des notions plus avancées.

Prenons l’exemple de l’apprentissage de la lecture. Au début, nous apprenons à déchiffrer les sons : B+A = BA

Mais le but de la lecture n’est pas simplement d’émettre des sons, la finalité sera de comprendre les sons que l’on décrypte. Et pour arriver à cette compréhension nous avons besoin d’automatiser suffisamment le déchiffrage pour pouvoir mettre notre attention sur la compréhension.
Malheureusement notre système de notation nous pousse à raisonner à court terme. Mais l’objectif d’un apprentissage est souvent l’automatisation, ce qui signifie consommer moins d’énergie pour notre cerveau et donc pouvoir passer au niveau supérieur.

🟠 Les principes scientifiquement prouvés

Maintenant parlons de ce qui fonctionne avec certitude. En effet les connaissances scientifiques évoluent et tout n’est pas encore sûr à 100%.
C’est pourquoi je vais vous parler uniquement de 6 principes que vous pouvez appliquer les yeux fermés. Par contre, si dans votre méthode d’apprentissage vous êtes en contradiction avec l’un d’entre eux, vous devriez vous remettre en cause rapidement 😅.
Pour approfondir ces points, je vous conseille le magnifique site des Learning Scientists. Site de chercheuses canadiennes ayant pour objectif la vulgarisation des recherches en science de l’éducation. Il est vraiment très bien (mais en anglais), elles ont aussi un livre.

✅ L’entraînement par la récupération

L’inverse de l’entraînement par récupération, c’est la lecture. Ce principe montre que lorsqu’on se teste avant de relire, nos résultats sont meilleurs.

  • Quelques exemples d’entraînement par récupération :
  • La feuille blanche (on note sur une feuille, une ardoise ou à l’oral toutes les idées d’un cours)
  • Les questions : vous répondez aux questions que l’on vous pose ou que vous avez créées au préalable (voir la rubrique “l’élaboration” ci-dessous).
  • Les QCM

✅ La révision espacée

La révision espacée a pour but de lutter contre l’oubli. Je fais référence ici à la courbe de l’oubli, concept développé par Hermann Ebbinghaus en 1885.
Il s’est rendu compte, en expérimentant sur lui-même, que s’il faisait des révisions à intervalles de moins en moins fréquents, sa rétention dans le temps était améliorée.
Dans les études supérieures, notamment en médecine, une des applications de ce principe, c’est la fameuse méthode des J, avec des révisions à J0 (le jour-même), puis J1 (un jour après), J3 (3 jours plus tard), J7, J15, J30, J60, etc.

✅ L’élaboration

C’est le fait de se poser des questions sur un sujet puis d’aller chercher les réponses. C’est aussi le fait de reformuler un contenu ou de l’expliquer à quelqu’un en détail. Par exemple, vous étudiez la seconde guerre mondiale, l’attaque de Pearl Harbor. Posez-vous les questions : comment cette attaque a-t-elle eu lieu ? Pourquoi c’est arrivé ? Quel a été la conséquence de cet événement historique ?

Lorsqu’on s’entraîne à créer des questions sur un cours puis à y répondre à différents intervalles dans le temps, on fait à la fois de l’élaboration, de l’entraînement par récupération et des révisions espacées.

✅ L’intercalage

C’est le fait de varier l’ordre des matières au sein d’une même séance de travail.
Par exemple, tu as l’habitude de faire des séances de 3 heures sur les matières : Maths, Français et Histoire.
Au lieu de faire toujours dans le même ordre, tu vas changer chaque jour l’ordre de passage de chaque matière.
Lundi : Maths, Français, Histoire
Mardi : Français, Histoire, Maths
Mercredi : Histoire, français Maths

✅ Des exemples concrets

C’est l’un des principes les plus intuitifs qui est largement utilisé. Je vais donc vous donner un exemple concret…sur la notion d’exemple concret 😄.

Prenons le concept de « gratification différée » :
C’est la capacité à résister à une récompense à court terme pour obtenir une récompense plus tard.
Un exemple concret pour comprendre ce concept c’est « le test du chamallow ». Voici une vidéo marrante qui illustre ce test :

En résumé, on met un enfant devant un chamallow, en lui disant qu’il en aura un second s’il attend que le scientifique revienne, sans toucher à ce premier chamallow. Plus l’enfant attend longtemps sans manger ce bonbon et plus il sera entraîné à la gratification différée.

Pour pousser ce principe d’exemples concrets, vous pouvez :

  • Collecter un maximum d’exemples (par exemple ceux donnés en classe par l’enseignant)
  • Lier les exemples aux idées étudiées
  • Partager les exemples (en les expliquant à tes amis tu feras de l’élaboration)
  • En créer de nouveaux

✅ Le double codage

C’est un principe bien connu mais l’application pour l’apprenant beaucoup moins.
Le double codage, c’est le fait d’avoir une idée expliquée à la fois avec du texte et un visuel.

Si je prends la définition de Wikipédia du cycle de l’eau :

Le cycle de l’eau, ou cycle hydrologique correspond à l’ensemble des transferts d’eau (liquide (eau du robinet), solide (grêle )ou gazeuse (vapeur d’eau)) entre les réservoirs d’eau sur Terre (les océans, l’atmosphère, les lacs, les cours d’eau, les nappes d’eau souterraine et les glaciers). Le « moteur » de ce cycle est l’énergie solaire qui, en favorisant l’évaporation de l’eau, entraîne tous les autres échanges.

En plus de la définition, nous avons une illustration  :

La vraie puissance de ce double codage est dans l’entraînement que l’on peut en faire. Pour augmenter votre maîtrise du cycle de l’eau (ou un autre concept), vous allez partir de l’un des deux supports (texte ou dessin) et essayer de retrouver l’autre.

1 / Par exemple, vous prenez l’image et vous essayez de l’expliquer à quelqu’un ou juste de réécrire la définition format texte.
2 / Vous pouvez faire l’inverse de partir du texte et refaire le schéma.

Lorsque vous couplez cette pratique à des révisions espacées, cela devient vraiment très utile pour comprendre et retenir les concepts.

Maintenant que vous connaissez les principes importants pour bien apprendre, il va falloir les mettre en musique. En effet, ils fonctionnent très bien seuls mais rien ne vous empêche de les associer.

🟠 La trame d’une bonne méthode pour apprendre

Dans cette partie nous allons voir comment vous pouvez mettre en musique ces différents principes. A force d’accompagner des élèves et étudiants, j’ai identifié des processus qui fonctionnent.
Vous allez pouvoir les expérimenter pour construire une méthode personnalisée. Déjà toute méthode d’apprentissage se décompose en 2 phases très différentes : La phase de vision ou de découverte et la phase des révisions.

La vision ou phase de découverte

L’objectif de cette phase est la compréhension et dans une moindre mesure la mémorisation. La mémorisation à ce stade sera principalement due à la compréhension du sujet.

Les étapes à réaliser pourraient se résumer à : « faire une lecture active » ou une « écoute active ».

Je reviendrai sur ce point plus tard mais en général, il y a 3 sous-étapes :

  • La lecture active sur un morceau du cours (1 paragraphe, 1 page ou plusieurs pages). La lecture active mobilise le lecteur, engage sa concentration, son analyse et sa mémorisation (ex : surligner, annoter, etc).
  • Un test rapide sur la partie découverte
  • Une correction pour vérifier rapidement si les éléments clés sont corrects.

Les révisions

Les objectifs de ces révisions s’inversent par rapport à la 1re étape, il y aura majoritairement de la mémorisation et un peu moins de compréhension. Même s’il y a toujours des éléments que l’on ne peut comprendre qu’à la fin d’un cours.

Ces révisions se découpent en 2 étapes :

1 / Une phase de test
On peut réciter sur une feuille blanche ou à l’oral, expliquer à quelqu’un, répondre à des questions préalablement construites, prendre le plan du cours et essayer de le reconstruire.
Cette phase est à la fois indispensable et en même temps pas spécialement agréable. C’est à ce moment-là que l’on regarde en face notre niveau sans se mentir. En général on repousse cette phase le plus loin possible. Pourtant le pire moment pour se tester…sera le jour de l’évaluation.

2 / Une phase de correction
Cette correction sera une lecture active qui va nous permettre de comprendre la source des erreurs ou les oublis.
C’est l’occasion de mettre en lumière un point que l’on a mal compris. On pourra se poser des questions et chercher à y voir plus clair.
Parfois il s’agit d’un problème de mémorisation. Une liste à rallonge, un schéma, des dates, un tableau, du vocabulaire, une formule ou de nombreuses définitions…

Pour ces problèmes spécifiques, vous pourrez utiliser des méthodes de mémorisation que je développe par ailleurs sur ce blog. D’ailleurs pour être sûr de les recevoir dans votre boîte email, pensez à vous inscrire à la newsletter si ce n’est pas déjà fait 😉 (voir en bas de cette page).

🟠 Les 4 styles pour apprendre un cours

Pourquoi plusieurs types de méthode ?

Il n’existe pas de solution unique ni magique. Mes expériences et observations m’ont permis de mettre en lumière 4 grandes trames de méthodologie pour apprendre un cours et si on les mélange on obtient 10 variantes soient 14 possibilités.

Mais je laisserais libre court à votre imagination pour les mélanges, nous nous focaliserons sur les trames de base.

Vous allez pouvoir vous baser sur 3 grands critères :

1 / Vous, vos affinités
En fonction des préférences de chacun, certains vont spontanément aller vers telle ou telle méthode.

2 / La connaissance à mémoriser
On pourrait distinguer deux types :

    • Les matières à compréhension : comme les maths, la physique …
      où il faut être capable de faire des raisonnements, résoudre des exercices. La mise en pratique est importante.
    • Les matières “par cœur” ou catalogue : au lycée nous avons l’histoire, la géographie, la philosophie, l’anglais, les langues ou beaucoup de matières du concours de médecine (PASS, L.AS) anatomie, etc.
      Ces matières demandent aussi de la compréhension, mais dans un second temps. En général, il est nécessaire d’avoir une première base de connaissance pour pouvoir commencer à construire des raisonnements. Je me souviens encore d’une phrase écrite dans mon livre de philosophie, lorsque j‘étais en Terminale.

« En philosophie pour commencer à penser, il vous faudra apprendre des pensées d’autres auteurs »

3 / Le contexte :
Dans quel cadre, quelle finalité vous devez apprendre ces connaissances. En fonction de l’évaluation, du contrôle, du concours ou de l’usage dans la vie personnelle ou professionnelle, vous allez adapter la méthode d’apprentissage qui correspond.

Méthode 1 : la classique

Type de cours

Cette méthode est relativement mixte, elle fonctionne très bien pour des matières à compréhension et catalogue. Méthode très répandue et efficace avant le BAC. Elle peut devenir problématique durant les études supérieures si l’on tombe dans un certain travers (que j’explique après).

La phase de lecture active

L’intensité attentionnelle de l’apprenant va être maintenue par un test fréquent de sa compréhension. Il va à intervalle régulier, toutes les 5-10 min ou à chaque paragraphe ou à chaque page, se tester.
En général, on récite dans sa tête ou on fait semblant d’expliquer notre lecture à quelqu’un d’imaginaire. Pendant cette phase de lecture active, il est possible aussi de créer un plan s’il n’est pas fourni avec le cours.
On peut aussi surligner ou gribouiller.
Attention : lors de cette phase, certaines personnes récitent dans leur tête après chaque phrase. Cette pratique peut fonctionner au collège voire au lycée mais sera contre-productive après le Bac.

La phase de test

Elle se résume à un entraînement par récupération, en mode feuille blanche ou avec le plan sous les yeux.

Méthode 2 : la synthèse

Type de cours

Cette méthodo est présente dans les cours avec beaucoup de compréhension. En tout cas avec des notions complexes et abstraites comme dans les études de Droit, Maths, etc.

La phase de lecture active

L’apprenant réalise une fiche de synthèse en même temps qu’il découvre le cours. La synthèse est de préférence sous forme visuelle et permet une meilleure compréhension du sujet.
On retrouve des prises de notes telles que :

  • Les cartes mentales
  • La méthode Cornell
  • Les tableaux
  • Création d’un schéma bilan

La phase de test

Lorsqu’on se teste avec cette méthode, on fait généralement une feuille blanche. De tête, on va reproduire la synthèse qui a été réalisée lors de la phase de vision.

Méthode 3 : flashcards / cartes mémoire

Type de cours

Très utile pour les cours catalogue avec beaucoup de mémorisation et peu de compréhension. Elle est aussi très efficace pour les petits cours qui peuvent se résumer en moins de 10 questions (Primaire ou Collège).

La phase de lecture active

Cette phase consiste à transformer son cours en une série de questions simples et de réponses courtes. En général, on reporte ces questions et réponses sur des flashcards. Elles peuvent être au format papier, mais pour les élèves post Bac, elles seront généralement produites sous format digital.

La phase de test

Elle consiste à se questionner en regardant nos flashcards puis en vérifiant les réponses.

Méthode 4 : le palais mental

C’est une méthode relativement technique qui demande un bon entraînement au préalable. Pour plus de détails, j’ai créé un article spécifique, voir “apprendre un cours/leçon avec un palais mental”.

Type de cours

Cette méthode fonctionne très bien pour les cours catalogue, les études de médecine.

La phase de lecture active

  • En même temps qu’on lit, on va :
  • Identifier les éléments clés du cours
  • Choisir dans quel emplacement de notre palais mental on va stocker la notion
  • Trouver une association à la notion
  • Lier l’association à l’emplacement dans notre palais

La phase de test

Pendant le test, vous parcourez votre palais en même temps que vous retrouvez vos associations, vous faites l’effort de retrouver les connaissances apprises.

Les métas hybrides

Vous l’avez sûrement compris, rien ne vous empêche de mélanger les styles. Faire des fiches puis produire des flashcards, ou utiliser la méthode classique avec des flashcards sur les points de détails que vous n’arrivez pas à retenir.
Les mélanges sont multiples, mais rappelez-vous de votre contexte. Quel est le but de votre apprentissage ? Car en fonction de la finalité, certaines méthodes seront beaucoup plus rapides que d’autres.

🟠 Exemples concrets d’élèves

Pour avoir des exemples concrets de mise en application de ces types de méthodes, je vous propose de regarder les interviews d’anciens élèves qui ont créé des méthodes sur mesure pour réussir leurs études !

Méta 1 : les fiches

Pierre, grand fan des cartes mentales, les a utilisées pour résumer ses cours de Droit.

Rose, qui a pris l’habitude de faire des synthèses de ses cours de médecine.

Méta 2 : la classique

Avec Marie

Méta 3 : les flashcards

Baptiste a créé 11 545 flashcards pour finir 25e au concours de médecine (PASS). Il transforme tout en flashcards, c’est dingue !

 

Méta 4 : le palais mental

Louis et ses 90 palais mentaux.

Il a réussi sa première année de médecine avec cette méthode qu’il a commencé à utiliser dès la Terminale en Histoire.

Jean-Loup, qui a adapté la méthode du palais.

Incapable de rester concentré plus de 30 min, il passait son temps à marcher dans la rue en bas de sa prépa et a fini dans le top 10 du concours médecine !

Conclusion

Nous arrivons à la fin de cet article pour vous aider à trouver votre méthode pour apprendre un cours ou un texte. J’espère vous avoir éclairé sur l’importance de trouver sa méthode et vous avoir donné des pistes pour commencer à expérimenter !

– En résumé –

Les principes scientifiquement prouvés :

  • Le double codage
  • Des exemples concrets
  • L’intercalage
  • L’élaboration
  • La récupération espacée
  • L’entraînement par récupération

Concernant la méthode pour apprendre un cours, il est important de distinguer 2 phases :

  • La découverte : pour comprendre les notions
  • Les révisions : pour mémoriser et ancrer

Il existe de nombreuses manières pour apprendre un cours, à vous de trouver votre style en passant par l’expérience et l’amélioration continue !

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